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Belle grosse affiche Death-Black que voilà avec deux acteurs majeurs de ce type musical.

La première partie ayant annulé sa présence, les deux groupes se retrouvent avec un temps de jeu augmenté, ce qui est juste parfait.

Les brésiliens qu’on ne présentent plus (formule horrible pour dire que je n’ai pas envie de prendre le temps de les présenter 🙂 ) sont donc de retour dans la capitale.

La salle est déjà bien pleine et le backdrop arbore fièrement le logo et pentagramme.

Le début du concert se trouve un peu mou à vrai dire. Peut-être un choix de setlist et aussi un chanteur qui ne commence pas le concert en voix.

Puis ça décolle, le public aidant le groupe à se retrouver au top. Une belle communion entre un groupe et un public d’acharnés.

Ensuite viennent quelques plus anciens morceaux, et là c’est quand même bien meilleur, il n’y a pas à discuter là-dessus.

Impressionnant de voir la rapidité du guitariste et sa belle synchronisation avec le batteur. Certes, ce n’est pas parfait (je pense aux soli), mais c’est quand même foutrement bon.

Pour une énième fois, voir Krisiun sur scène a été tout simplement un gros kiff. Aucune surprise, mais on n’est pas venu en chercher non plus …

J’ai bien apprécié le dernier opus du groupe qui m’a surpris. Ce n’est pas un groupe que je note parmi mes favoris, loin de là.

Du coup, les voir en live m’intéressait histoire d’apprécier le rendu.

Problème, il y a vraiment beaucoup de monde entassé. Du coup, du fond de la salle, eh bien …. c’est sympa….mais au bout de deux morceaux, on se fait un peu chier.

Il faut dire que les musiciens ont soit un zoli maquillage de méchant, un costume de méchant, voire les deux. Ça ne bouge pas, et ça n’emballe pas grand chose.

La batterie est ultra-triggée, mais on s’y fait. Les zicos ne bougent quasiment pas d’un poil.

Alors tout est dans l’ambiance froide, le son pas trop mal … mais finalement je n’arrive pas à rester.

Donc c’est tout pour moi pour ce groupe et cette soirée.