Une belle affiche que voila, qui rameute quand même un joli nombre de spectateurs. C’est loin d’être bondé mais c’est plutôt pas mal.
J’entendrai Cobalt de l’extérieur, et cela ne m’a donné aucunement envie de découvrir.
Valborg par contre m’a intéressé. Toujours de l’extérieur (malheureusement) mais ça rendait plutôt très bien. Pour ceux qui étaient au concert, ce n’était pas forcément le cas. Mais peut-on se fier aux avis des gens douteux ? 🙂 J’ai passé un bon moment à les entendre, c’était relativement agréable et sympathique. Je les verrai donc en live un autre jour.
Je rentre dans la salle pour Pillorian, dont je ne vais voir qu’un seul morceau. C’est bien fait, ça semble pro et tout, mais ce type de musique ne peut vraiment m’atteindre que lorsque je connais bien sur album, ce qui n’est pas du tout le cas vu n’ayant jamais jeté une oreille sur leurs productions.
Inquisition
Voila enfin le plat principal. Le duo sur scène avec un décor soigné (deux toiles latérales) pour combler un peu le vide. Car oui, il y a le batteur qui reste par définition statique et le chanteur/guitariste qui fait tout son possible (et plutôt bien) pour mettre un peu d’intérêt à regarder la scène. Il a deux micros à sa disposition, un à droite et l’autre à gauche et il ne cesse d’alterner au gré de ses envies.
Le son n’est pas génial, je suis assez surpris, le son de guitare est plutôt brouillon, c’est dommage pour capter toutes les nuances des morceaux. C’est étonnant qu’avec si peu d’instruments et de musiciens, ce ne soit pas parfait. Enfin bon, ça rend plutôt bien, mais j’avoue que je suis beaucoup moins « dedans » qu’au live du Hellfest qui était d’un tout autre niveau. Et sur album je trouve ça vraiment très intéressant alors que là, je ne sais pas, je trouve ça parfois presque risible. Ce n’était pas mauvais, mais juste loin de la qualité que j’attendais de ce live. Surtout après un Hellfest qui avait été vraiment bon, je me disais qu’en club comme ça, ça pourrait vraiment être énorme.
Une bonne soirée tout de même avec les potes, c’est le principal.